Le paludisme, encore connu sous l’appellation de la malaria est un mal qui frappe environ 40% de la population mondiale. Cette maladie est causée par injection dans l’organisme d’un parasite du genre des plasmodiums. Au fil du temps, le parasite a pu développer une certaine résistance aux divers traitements préconisés. De plus, les insectes vecteurs du parasite semblent aussi ne plus craindre les insecticides élaborés pour éviter leurs piqûres.
Quelles sont les causes et les manifestations du paludisme
Le paludisme, comme vous pouvez le découvrir sur plusieurs sites d’informations, est un mal causé par l’injection d’un genre de parasites de la famille des plasmodiums. Cette maladie est véhiculée par les moustiques infectés à travers la piqûre de ces derniers
Chez une personne souffrante du paludisme, la maladie devient manifeste à travers les symptômes que voici : fièvres, toux, mal de tête douleurs musculaires, affaiblissement, diarrhées et bien d’autres choses encore. Lorsque ces symptômes sont constatés chez un individu et que les tests requis ne sont pas faits au moment opportun, le malade peut succomber à son affection sanitaire, s’il s’agissait d’un cas de paludisme.
Les zones les plus touchées et le mode de transmission de la maladie
Depuis son avènement, il a été constaté que le paludisme est une maladie propre à certaines régions du globe. En effet, les cas de contamination sont beaucoup plus constatés dans les zones tropicales de la planète. Il est question ici de l’Afrique, qui d’ailleurs totalise 90% des cas recensés. En dehors de l’Afrique, la maladie fait rage en Asie et en Amérique du Sud.
Elle se transmet par piqûre de moustique femelle de la catégorie des anophèles. Ces moustiques sont les seules à piquer. Ils prélèvent chez une personne la quantité de sang qu’il leur faut pour leur ponte. Ainsi, lorsque l’individu piqué est infecté, il transmet le parasite au moustique qui le propage.